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Le taux d'approbation du Cabinet japonais tombe à 25 %, un creux historique : le plus bas niveau depuis le retour au pouvoir du Parti libéral-démocrate en 2012 (Television Tokyo Biz)
- Langue de rédaction : Coréen
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- Pays de référence : Japon
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Texte résumé par l'IA durumis
- Un sondage d'opinion mené en juin a révélé que le taux d'approbation du Cabinet Kishida était de 25 %, ce qui constitue le plus bas niveau depuis le retour du Parti libéral-démocrate au pouvoir.
- Les raisons invoquées pour ne pas soutenir le gouvernement sont les suivantes : la manière dont le gouvernement ou le parti est dirigé, les politiques, le manque de leadership. En ce qui concerne la question de savoir si la révision de la loi sur le financement politique permettra de résoudre le problème du « lien entre la politique et l'argent », 84 % des personnes interrogées ont répondu par la négative.
- Quant à l'efficacité des mesures prises par le Premier ministre Kishida pour faire face à la flambée des prix, 68 % des personnes interrogées ont estimé qu'elles n'étaient pas efficaces. 56 % des personnes interrogées ont déclaré que le Premier ministre Kishida devrait rester en poste jusqu'à la fin de son mandat de président du Parti libéral-démocrate, en septembre de cette année.
Selon un sondage d'opinion mené en juin par Television Tokyo et le Nihon Keizai Shimbun, le taux d'approbation du cabinet Kishida s'est établi à 25 %. C'est le taux d'approbation le plus bas depuis le retour au pouvoir du Parti libéral-démocrate (PLD), et il est identique à celui de février dernier. Ce chiffre représente une baisse de 3 points de pourcentage par rapport au sondage de mai. Pour la septième fois consécutive, le taux d'approbation est inférieur à 20 %, ce qui est le taux le plus bas depuis que le PLD est revenu au pouvoir fin 2012. 67 % des répondants ont déclaré ne pas soutenir le cabinet Kishida, un chiffre identique à celui du mois précédent. Les principales raisons de l'approbation du cabinet Kishida sont les suivantes : "C'est un cabinet dirigé par le PLD" (29 %), "Les personnalités sont dignes de confiance" (25 %) et "Le cabinet a un sens international" (21 %). Les principales raisons de la désapprobation du cabinet Kishida sont les suivantes : "La manière dont le gouvernement et le parti sont gérés est mauvaise" (40 %), "Les politiques sont mauvaises" ou "Le leadership est insuffisant" (39 % chacun). Les taux d'approbation des partis politiques sont les suivants : PLD 31 % (+4 par rapport au sondage de mai), Parti démocrate constitutionnel 9 % (-3), Nippon Ishin no Kai 9 % (±0), Kōmeitō 3 % (-2), Parti communiste 4 % (+1), Parti démocratique du peuple 2 % (±0), Reiwa Shinsengumi 2 % (±0), Seikatsu no To 1 % (±0), Autres partis 1 % (±0), Aucun parti 33 % (±0).
Lorsqu'on a demandé si la révision de la loi sur la régulation des financements politiques permettrait d'empêcher la réapparition du problème du "financement politique", 7 % des répondants ont déclaré qu'ils pensaient que cela était possible, tandis que 84 % ont déclaré qu'ils ne le pensaient pas. Lorsqu'on a demandé l'effet des réductions d'impôts sur le revenu et l'impôt foncier qui ont débuté ce mois-ci, 13 % des répondants ont déclaré qu'ils pensaient que cela aurait un effet, tandis que 80 % ont déclaré qu'ils ne le pensaient pas. Lorsqu'on a demandé si les mesures supplémentaires de subventions pour l'électricité et le gaz annoncées par le Premier ministre Kishida dans le cadre de ses mesures visant à lutter contre la flambée des prix étaient efficaces, 25 % des répondants ont déclaré qu'ils pensaient que c'était le cas, tandis que 68 % ont déclaré qu'ils ne le pensaient pas. Lorsqu'on a demandé combien de temps le Premier ministre Kishida devrait rester en fonction, 56 % des répondants ont déclaré qu'il devrait rester jusqu'à l'expiration de son mandat de président du PLD en septembre de cette année, 26 % ont déclaré qu'il devrait être remplacé immédiatement et 10 % ont déclaré qu'il devrait rester aussi longtemps que possible. Concernant la dissolution de la Chambre des représentants et les élections générales, 39 % des répondants ont déclaré qu'elles devraient avoir lieu d'ici l'automne de cette année, 19 % ont déclaré qu'il n'était pas nécessaire de se précipiter pour la dissolution, et 15 % ont déclaré qu'elles devraient avoir lieu d'ici la fin de cette année. Le sondage a été mené du 28 au 30 juin auprès de 838 personnes âgées de 18 ans et plus par téléphone fixe et mobile.