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Guideline pour les opérateurs et promotion de la version japonaise de DBS - Après l'adoption de la loi sur la prévention de la violence sexuelle contre les enfants
- Langue de rédaction : Coréen
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Pays de référence : Japon
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Concernant l'introduction d'un système de vérification des antécédents de délits sexuels contre des enfants au Japon, similaire au « DBS britannique » (système de vérification des antécédents), le ministre chargé de la politique de l'enfance, Kato, a déclaré qu'il souhaitait élaborer, dès que possible après l'adoption de la loi, des lignes directrices résumant les mesures à prendre par les opérateurs économiques, et promouvoir leur diffusion.
Le projet de loi visant à introduire le « DBS japonais » prévoit que les opérateurs économiques puissent consulter le ministère de la Justice via l'Agence pour les enfants et les familles afin de vérifier les antécédents de délits sexuels des personnes travaillant dans le secteur de l'enfance. Le gouvernement prévoit d'établir des lignes directrices qui résumeront les mesures à prendre par les opérateurs économiques après l'adoption de la loi.
Le 11 juin, lors d'une réunion de la commission des affaires intérieures de la Chambre haute, le ministre chargé de la politique de l'enfance, Kato, a déclaré : « Il est nécessaire de transmettre aux parties prenantes, de manière aussi claire que possible, le contenu concret des mesures de gestion de l'information, notamment en ce qui concerne la protection des informations personnelles, ainsi que les points importants à prendre en compte. »
Il a ajouté : « Nous souhaitons élaborer ces lignes directrices avec le concours d'experts et d'organisations concernées, afin de garantir que les mesures prises soient appropriées. Nous tenons également compte du temps nécessaire à la préparation des opérateurs économiques concernés et nous nous efforcerons de finaliser ces lignes directrices le plus rapidement possible avant l'entrée en vigueur de la loi, et d'en assurer une large diffusion. »
Actuellement, au Japon, il n'existe aucun système de vérification des antécédents de délits sexuels pour les personnes travaillant dans le secteur de l'enfance. Par conséquent, des personnes ayant commis des délits sexuels contre des enfants dans le passé peuvent retrouver un emploi en lien avec les enfants. Pour résoudre ce problème, l'introduction du « DBS japonais » est en cours d'examen.
Cependant, l'introduction du « DBS japonais » suscite également des inquiétudes. En particulier, les mesures concrètes à prendre par les opérateurs économiques, notamment la vérification des antécédents de délits sexuels des candidats et des employés actuels, ainsi que les « mesures préventives » à prendre si un risque de violence sexuelle est détecté, ne sont pas encore clairement définies.
L'Agence pour les enfants et les familles a expliqué : « Étant donné que les secteurs concernés sont vastes et que l'âge des enfants varie, la définition du « risque » et le processus d'évaluation peuvent être multiples, il est donc difficile de fournir des directives générales. » Par conséquent, l'Agence prévoit d'élaborer des lignes directrices en tenant compte des avis des organisations concernées et des experts, et de promouvoir leur diffusion.
L'introduction du « DBS japonais » est une mesure importante pour protéger les enfants des agressions sexuelles, mais elle impose également de nouvelles obligations et responsabilités aux opérateurs économiques. Après l'adoption de la loi, ces derniers devront se familiariser avec le contenu des lignes directrices et prendre les mesures qui s'imposent. En outre, il est important d'aborder avec prudence les questions liées à la protection des informations personnelles et au risque d'atteinte à la liberté de choix professionnel.